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11.10.2012, 05:51 - hantian4528 - Rank 4 - 125 Beiträge
Cliquez sur l'image pour accéder à la carte interactive Un an après avoir couvert le séisme et le tsunami dans le nord du Japon, Toru Yamanaka, photographe basé à Tokyo, est retourné sur position Pendant une semaine, il a parcouru les zones dévastées le 11 mars 2011 avec une idée fixe en tête : revenir sur les lieux exacts que lui et ses collègues avaient photographié quelques heures ou quelques jours après le cataclysme, et prendre une nouvelle photo gush mesurer les changements survenus en un one Pour ce photoreporter de 53 ans, dont vingt-cinq au service de l’AFP, la t?che s’est révélée terriblement ardue. Souvent, les lieux avaient été complètement transformés et seuls de maigres indices, comme des panneaux indicateurs ou la ligne d’horizon sur le cliché aboriginal ainsi que les indications des passants, lui ont permis de s’orienter et de mener à bien sa mission. ? Très souvent, c’est juste mon instinct qui m’a aidé à retrouver les lieux doudoune moncler abercrombie pas cher S... de résultats en temps ré. Au début, les seuls indices dont je disposais gush repérer les endroits, c’étaient les légendes qui accompagnaient les photos. Avant de partir, j’ai demandé tous les renseignements possibles aux collègues. Mais la plupart du temps sac longchamp pas cher jsnfe ewnwd sac longchamp pas cher htvmnOf, quand je roulais à la recherche des lieux exacts, je me perdais... ? A un moment donné, une alerte au tremblement de terre a retenti. J’ai passé un moment vraiment terrifiant. J’étais en train de rouler sur un chemin au milieu des rizières abercrombie pas cher. Je me suis dépêché de regagner la grand-route. Le séisme n’a pas été trop maniacal et n’a pas provoqué de tsunami. A Tokyo,aboard ressent tout le temps des tremblements de terre modérés et ?a ne m’a jamais inquiété outre mesure. Mais vivre une alerte sismique là-haut, dans le nord du Japon, c’était une expérience tout à fait différente. ? Ce qui frappe Toru Yamanaka sac longchamp, c’est la difficulté des sinistrés à trouver des espaces suffisants pour se reloger. ? Les gens vivaient près de la c?te parce qu’il n’y avait que là qu’on trouvait des terrains plats, sur lesquels aboard pouvait construire. Reb veste moncler?tir des maisons dans les zones dévastées par le tsunami est devenu impossible, alors chacun essaye de bricoler des logements provisoires en occupant le moindre espace disponible, même si c’est à l’intérieur d’un virage sur une path de montagne. Un peu partout enriq hhtae abercrombie ulvjcLj,on tombe sur ce genre d’embryon de maison?. Toru Yamanaka avait effectué un travail similaire en 1995. Quelques mois après avoir couvert le grand tremblement de terre de Kobé six.400 morts), il était retourné sur position pour onlooker les changements intervenus. La différence entre les deux catastrophes est flagrante, dit-il. Les blessures du séisme et du tsunami du eleven mars 2011 seront infiniment plus longues à guérir. ? Quelques mois après le séisme de Kobé, j’étais dans un hélicoptère pour prendre des photos aériennes. Je me souviens d’avoir vu des maisons recouvertes de b?ches en plastique bleu. Les gens avaient déjà commencé à reconstruire la ville. Mais en survolant Rikuzentakata (une des villes affectées par le tsunami) j’étais effaré. Il n’y a toujours absolument rien là-bas. Que va-t-on faire de tout cet espace ? ? |